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vendredi 24 juin 2022

Recensions

 Ces derniers mois, j’ai publié plusieurs recensions sur Orthodoxie.com. Le lien vers chaque recension est avec le titre de l’ouvrage.

Le plus récent, il y a quelques jours : « "La nature magique de la parole" de Pavel Florenski (1882-1937) (Payot-Rivages, 2022, 105 pages, 15 euros). Une question qui m’intéresse depuis longtemps. Un livre qui m’a passionné. « Cet ouvrage ouvre donc des pistes de réflexion fructueuses à saisir d’urgence tant il est vrai que la parole est aujourd’hui le plus souvent considérée de manière superficielle. Il nous invite à prendre conscience et à approfondir cette réalité éminente qui agit puissamment dans nos existences. Ainsi, elle pourra être utilisée à bon escient, pour une ascension et non une chute ! » Puis, « Étapes de la vie spirituelle » de Mgr Antoine Bloom (Syrtes, 2022, 153 pages, 9 euros). « Un livre qui nous permet de revisiter quelques-unes des paraboles évangéliques capitales pour l’éveil et la croissance spirituelle et de les relire avec une fécondité qui s’avère toujours renouvelée. » Ensuite, « Malades des nouveaux médias » de Jean-Claude Larchet (Cerf, 2016, 336 p., 26,40 euros). « Un ouvrage qui mérite d’être largement diffusé, lu et offert, tant il permet de mieux comprendre un des aspects essentiels et malheureusement inévitable de notre vie en société aujourd’hui. Afin de pouvoir agir et non plus seulement subir. » Également : « Sois le berger de mes agneaux » du P. Alexandre Siniakov (Desclée de Brouwer, 2022, 189 pages, 17,90 euros). « Un livre prenant qui témoigne magnifiquement des belles et riches rencontres de l’auteur avec des animaux jusqu’à former, grâce à une découverte réciproque, un chemin partagé. » Mais aussi : « Mont Athos. Carnets 1974-2015 » de Jean-Claude Larchet (Éditions des Syrtes, 2022, 292 pages, 15 euros). « Un livre qui sera donc très utile pour toute personne désireuse de découvrir ou de mieux connaître le Mont Athos, ses traditions, la spiritualité qui s’y déploie depuis de nombreux siècles, mais aussi pour comprendre et approfondir la prière, son rôle, sa pratique. Une lecture qui s’avère à la fois captivante et très instructive que l’on ne saurait donc trop recommander. » Et encore « En quête d’unité » par le P. Patrice Mahieu et le P. Alexandre Galaka (Salvator, 2021, 214 pages, 20 euros). « Un livre finalement porteur d’espoir et pleinement à la hauteur de son titre, « En quête d’unité ». Un beau cadeau offert aux fidèles des différentes Églises. À connaître et à diffuser ! » Enfin, « Petite théologie pour les temps de pandémie » de Jean-Claude Larchet (Syrtes, 2021, 282 pages, 15 euros). « Voilà un livre qui arrive au bon moment ! La crise sanitaire que vit le monde depuis un an a suscité de nombreux ouvrages, mais c’est le premier qui examine les questions posées par l’action déstabilisatrice de la Covid-19 pour les sociétés et les individus du point de vue théologique tout en se penchant sur les conséquences concrètes pour la pratique religieuse. »

lundi 6 décembre 2021

La remise du Prix Jean Dorst 2020


Dans la soirée du vendredi 3 décembre à Paris, à l'hôtel Bedford dans le 8e arrondissement, a eu lieu la remise du Prix Jean Dorst 2020, qui n'avait pu avoir lieu en décembre de l'année dernière en raison de la situation sanitaire, pour mon livre Le loup et son mystère. Histoire d'une fascination (Le Courrier du livre, 2020). C'est le docteur Roland Noël, président du Groupement des écrivains médecins, et de l'Union mondiale des écrivains médecins, qui m'a remis le prix avec le docteur vétérinaire Jean-Pierre Jégou, président de l'Académie vétérinaire de France et le docteur vétérinaire Philippe de Wailly, tous les trois membres du jury du Prix Fernand Méry, lequel désigne aussi le Prix Jean Dorst. Au cours de cette soirée, les prix Fernand Méry 2021 ont été aussi remis ainsi que les prix Littré 2020 et 2021 (sur tous ces prix). Une nombreuse assistance était présente.

Photographie ci-dessous (de N.M.) : avec le Dr Roland Noël lors de la remise du prix. 

jeudi 24 décembre 2020

"Le loup et son mystère. Histoire d'une fascination" : d'autres recensions

Plusieurs autres recensions de mon livre "Le loup et son mystère. Histoire d'une fascination" (Le Courrier du livre, 2020) sont parues ces derniers temps. En voici quelques unes.

Jean-Claude Larchet a publié une recension sur Orthodoxie.com le 17 décembre. "Nul animal n’a autant pourvu les mythes d’un grand nombre de sociétés, ni n’a suscité à la fois autant d’attirance et de répulsion. C’est à cela que Christophe Levalois, en historien des mythes et des mentalités, accorde toute son attention, plaçant au cœur de son étude la relation, complexe et changeante, de l’homme et du loup au fil de l’histoire et dans l’espace des différentes civilisations, et tentant d’élucider un mystère qui n’est pas tant celui du loup que celui de l’homme face à lui."

Une autre recension a été publiée dans le supplément du dimanche (6 décembre 2020) des quotidiens l'Est républicain, le Républicain lorrain et Vosges matin (et ci-dessous). "L'auteur de la semaine. Le loup et son mystère de Christophe Levalois"."D’une actualité brûlante, interrogeant le rapport de l’homme à la nature, ce livre très complet pose finalement la question cruciale : sommes-nous prêts pour une réconciliation ?"

"Cet ouvrage, riche d'enseignement et magnifiquement illustré, se lit comme un roman".  Marc Gadmer en a rendu compte, "Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?", dans "Femme Actuelle jeux Animo" n°4, nov.-déc. 2020.


Enfin, un entretien, intitulé "Les mythes du loup retracés par un auteur de Saint-Germain-en-Laye", est paru dans "Le Courrier des Yvelines" n°3915 (21 octobre 2020). Il est en ligne ici.

mardi 23 février 2016

Mon intervention au 4e Festival du Beau à Paris

Le 15 janvier dernier, je suis intervenu au 4e Festival du Beau (le weblog dédié) en l'église Saint-Ferdinand des Ternes dans le 17e arrondissement de la capitale, organisé en partenariat avec l'association Art, culture et foi. Le thème était : "Chrétiens, pourquoi témoigner de la beauté de la Création ?". Le pasteur luthérien Alain Joly (à mes côtés) a parlé avant mon intervention. C'est François Régis Salefran qui a filmé. Ci-dessous: mon intervention.

jeudi 25 juin 2015

La rencontre "Solidarité et religion" à Paris, le 18 juin dernier

Lors de notre table ronde - Dans une magnifique salle de réunion très bien équipée

Très intéressante rencontre le jeudi 18 juin dans l'après-midi à Paris sur le thème "Solidarité et religion - Comment prendre la parole sur internet quand on est une association humanitaire ou solidaire avec des racines religieuses". Elle était organisée par la dynamique association Webassoc. De 70 à 80 personnes étaient présentes: principalement des professionnels du web et des responsables de la communication de différents organismes humanitaires à fondement religieux (album de photographies). J'ai animé la première des trois tables rondes. Les interventions ont notamment abordé les questions de présentation et d'image des associations, mais aussi les spécificités de tels organismes, avec les conséquences tant sur la forme que pour la démarche et le sens de ce qui est mis en œuvre, des exemples pratiques ont été donnés. Une autre grande thématique était l'articulation du fondements spirituel avec l'ouverture à la société laïque et aux personnes qui n'ont pas de cheminement religieux ou qui sont athées. Les échanges furent constitués de réflexions quant au sens, de témoignages, par la relation de réalisations concrètes avec les résultats, les points forts et les difficultés rencontrées. Les personnes avec qui j'ai pu discuter à l'issue de cette journée étaient non seulement satisfaites d'un tel évènement, mais souhaitaient qu'il soit suivi d'autres rencontres similaires. 
Notre table ronde, à mes côtés, à droite Ines Azaïs, directrice de Talents et foi, à gauche Pauline Simon, responsable communication de la Fédération d'entraide protestante

Ajout (10 juillet): les enregistrements de la rencontre ont été ajoutés sur la page dédiée à l'évènement.

lundi 23 février 2015

Art et spiritualité: Edik Steinberg

Lors de la projection dans la salle paroissiale
Hier, dans la paroisse Saint-Séraphin de Sarov à Paris, en début d'après-midi, a été projeté un film sur Edik Steinberg, un artiste peintre très connu de l'avant-garde russe, décédé à Paris en 2012. Toute l'assistance a été très touchée par ce film et par les témoignages. Celui-ci a été présenté par son réalisateur, Gilles Bastianelli, en présence de la femme de l'artiste, Galina Manevich, paroissienne à Saint-Séraphin de Sarov. Considéré comme un successeur de Kasimir Malévitch, donc dans la ligne du suprématisme, Edik Steinberg y a apporté une dimension spirituelle très forte. Des personnes qui l'ont bien connu ont aussi témoigné lors de cette présentation. Un beau et consistant livre d'art, que j'ai pu feuilleter, consacré à Edik Steinberg, dont les auteurs sont Galina Manevich et Gilles Bastianelli,  sera diffusé en librairie en mars (couverture ci-dessous).
Sur Edik Steinberg: cet article sur sa vie et son oeuvre, la page Wikipedia en anglais le concernant. Une présentation avec des œuvres et des albums sur le site de la galerie Claude Bernard à Paris. Une exposition en 2014 au musée Pouchkine à Moscou. Début 2015, le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg lui a dédié une salle.
Plusieurs extraits du film qui nous a été projeté se trouvent sur l'Internet, en voici un :

La couverture du livre, en librairie en mars

samedi 14 février 2015

Le spectacle artistique en interaction "Par-delà l'horizon" (Paris, 5 février 2015)

Lors d'une lecture ce 5 février
Une cinquantaine de personnes étaient présentes lors de la performance artistique en interaction "Par-delà l'horizon" (affiche, dossier de presse, présentation et programme) que nous avons donné avec Irina Kotova et Nana Péradzé le 5 février dernier dans l'auditorium Jean XXIII à Paris. Après le mot d'accueil de Marie-Paule Connan, responsable des ressources humaines et de la communication de la Mutuelle Saint-Christophe assurances, la représentation a duré une quarantaine de minutes. Parmi les personnes et amis qui y ont assisté: l'ambassadeur de Biélorussie et son représentant à l'Unesco, ancien ministre de la Culture de la République du Bélarus, Pavel Latushka, accompagné de Victor Alshevsky, artiste très connu en Biélorussie, le premier conseiller de l'ambassade de Géorgie, chargé des affaires culturelles, Nodar Nutsubidze, l'ancienne première conseillère de l'ambassade de France en Biélorussie, Lise Talbot-Barré, les prêtres orthodoxes Jivko Panev (directeur d'Orthodoxie.com) et Ivan Karageorgiev (co-secrétaire du Conseil des Églises chrétiennes en France), le grand artiste français d'origine biélorusse Boris Zaborov, le président du Festival des Francopoésies (Val d'Yerres), Michel Mella, le co-directeur artistique du Festival de musique du Chablisien, Mario Hacquard, les artistes Justine Getty, Irina Gradovova (qui a filmé) et Arnaud Prinstet, l'organisatrice d'évènements culturels Anastasia Gaï, des responsables de l'association parisienne "Art, culture et foi", etc. Les réactions, après la représentation, ont été, une nouvelle fois, très positives et très encourageantes. Voici quelques photographies (cliquez dessus pour les agrandir).
Nana Péradzé (de dos) au piano face à Irina Kotova



















Lors de la performance


De gauche à droite: Nana Péradzé, Nodar Nutsubidze, premier conseiller de l'ambassade de Géorgie, Christophe Levalois, Irina Kotova, Pavel Latushka, ambassadeur de Biélorussie
Nana Péradzé à la fin de la performance
De gauche à droite: Christophe Levalois, Boris Zaborov, Irina Kotova, Victor Alshevsky


Lors d'une rencontre pour préparer la performance, de gauche à droite: Nana Péradzé, Christophe Levalois, Irina Kotova

Les photographies proviennent de Studia "F" (signature en bas à droite) ou d'Arnaud Alabeurte-Mozaliewsky. Un grand merci à eux.

Compléments:  
Un compte rendu, en russe, de la performance a été publié sur le site de l'ambassade de la République du Bélarus en France et sur celui d'une agence de presse biélorusse.

Une des compositions de Nana Péradzé jouée lors de la performance est en ligne sur Youtube (elle est interprétée sur cette page avec un autre piano que celui utilisé lors de la représentation). 

samedi 18 octobre 2014

Au château de Nesvizh (Biélorussie)

Dans le prolongement de l'exposition "Voyage de Paris à Nesvizh", et grâce au mécénat d'entreprise, plusieurs œuvres d'Irina Kotova ont été acquises pour le château de Nesvizh (Biélorussie). La remise officielle des œuvres s'est déroulée le 13 octobre dernier. La chaîne de télévision de Minsk, CTV (site en anglais), a réalisé un reportage pour son journal télévisé (dont la photographie ci-dessus). La vidéo (en russe) est ci-dessous (vidéo du journal complet). La radio nationale était aussi présente pour couvrir l'évènement ainsi que les médias locaux.

vendredi 26 septembre 2014

Nouvelles photographies commentées de la performance artistique "Voyage de Paris à Nesvizh" (château de Nesvizh, 8 août 2014)

Le site d'informations locales de Nesvizh, Nesvizh-news.by, a mis en ligne un article, avec interviews et photographies, qui rend compte (en russe) de la performance artistique "Voyage de Paris à Nesvizh" qui a eu lieu au château de Nesvizh le 8 août dernier (affiche, programme, clip). Voici trois nouvelles photographies commentées, extraites du site en question.

Lors du vernissage de l'exposition d'Irina Kotova, "Voyage de Paris à Nesvizh", le 8 août, de g. à d. : Serge Klimov, directeur du château de Nesvizh, Lise Talbot-Barré, première conseillère de l'ambassade de France en Biélorussie, Christophe Levalois, Ilona Yurévich, conseillère de l'ambassade de Biélorussie en France, Irina Kotova, Alexandre Pavlovsky, ancien ambassadeur de la Biélorussie en France, Natalia Zherko, responsable de la communication et des expositions au château de Nesvizh

Lors de la performance, de g. à d.: Christophe Levalois, Natalia Martsinkevitch, Galina Matyukova (flûte traversière), Dmitry Zoubow (clavecin)

Lors d'une de mes lectures (programme)

mardi 19 août 2014

La performance artistique en interaction "Voyage de Paris à Nesvizh"

A la fin de la performance - De gauche à droite: Irina Kotova,Christophe Levalois, Galina Matyukova, Dmitry Zoubow, Natalia Martsinkevitch
Lors de la performance-source: page Facebook de l'ambassade de France
Le programme de la performance
Le 8 août s'est déroulée, dans le château de Nesvizh en Biélorussie, la performance artistique en interaction "Voyage de Paris à Nesvizh", juste après le vernissage de l'exposition d'Irina Kotova dans ce haut-lieu de l'histoire biélorusse. La magnifique salle théâtrale du palais était pleine. Un autobus avait été spécialement affrété pour faire l'aller-retour de Minsk, la capitale distante d'une centaine de kilomètres. Les échos ont été extrêmement positifs. J'ai lu sept de mes textes en français, que Natalia Martsinkevitch a déclamés en russe, tandis qu'Irina Kotova dessinait alors que Dmitry Zoubow, au clavecin, et Galina Matyukova, à la flûte traversière, jouaient (voir le programme ci-contre, cliquez dessus pour l'agrandir). La représentation a été suivie d'un cocktail qui a eu lieu dans le restaurant du château dans une ambiance chaleureuse. Un compte rendu a d'ores et déjà été publié sur le site de l'ambassade de France en Biélorussie et sur la page Facebook de l'ambassade (en russe). La radio nationale ("1er canal" et "Canal culture") a largement informé sur l'évènement, à plusieurs reprises, par des interviews (dont une de moi) dès la fin du mois de juillet. Le mensuel Where Minsk a publié quant à lui un entretien avec Irina Kotova (en russe) et l'agence Tut.by une note illustrée.
Une partie de l'assistance

mardi 1 juillet 2014

Au Collège des Bernardins pour le colloque sur "Serge Boulgakov, un père de l'Eglise moderne"

Le samedi 28 juin, j'étais le modérateur d'une table ronde, au Collège des Bernardins, à Paris, lors d'un colloque sur "Serge Boulgakov, un père de l’Église moderne", initié par Antoine Arjakovsky. La table ronde était consacrée au père Serge Boulgakov et au mouvement œcuménique. Les intervenants étaient Regula Zwahlen, de l'Université de Fribourg en Suisse, coresponsable de l'édition allemande des œuvres de Boulgakov, auteur d'une thèse de doctorat sur Nicolas Berdiaev et Serge Boulgakov, avec pour sujet "Thomas Carlyle, source d'inspiration pour l'œuvre de Serge Boulgakov" ; Mike Whitton, traducteur de Boulgakov en anglais, qui a parlé de "Le père Serge Boulgakov et le Fellowship saint Alban and saint Sergius"; enfin, Barbara Hallensleben, professeur de dogmatique et de théologie œcuménique à l’Université de Fribourg (Suisse), sur " « La philosophie de l'économie » de Serge Boulgakov (1912) comme archétype de sa théologie".  J'ai été frappé par la démarche du père Serge Boulgakov, à savoir le fait de relier les préoccupations de son époque, dans tous les domaines, avec le message chrétien qui apporte une complétude, un parachèvement aux espoirs, rêves, craintes et réalisations d'un temps. Il n'oppose pas, mais ouvre l'un à l'autre. Il ne campe pas sur antagonisme finalement confortable et pratique ("l'autre a tort, j'ai raison"), largement répandu, mais démontre en quoi le message chrétien répond aux interrogations profondes d'une époque et lui permet de repousser les horizons dans lesquels elle s'enferme. C'est pourquoi, j'ai observé que cette table ronde ronde aurait pu avoir comme intitulé "De l’œcuménisme à l'écoumène (1)".
Le 28 juin, dans le grand auditorium du Collège des Bernardins, lors du colloque, à ma droite Regula Zwahlen

mercredi 2 avril 2014

Le spectacle artistique "Eternité de l'instant" évoqué dans le mensuel biélorusse "Director"


Le mensuel biélorusse Director a publié, dans son numéro de février 2014, un article illustré d'Evguény Shunejka, professeur à l’Académie d’État des beaux-arts de Biélorussie, sur les performances artistiques. Le spectacle artistique Éternité de l'instant (1) occupe une partie importante de l'article. Pour le lire (en russe), cliquez sur ce lien.

samedi 1 février 2014

Dans le bimestriel "Pasteur"

Ce n'est qu'il y a peu que j'ai pris connaissance de ce bref compte rendu (ci-dessous) de la parution de Prendre soin de l'autre - Une vision chrétienne de la communication publié par le bimestriel catholique du 15e arrondissement de Paris, dont le titre est Pasteur, dans son numéro 258 (juin-juillet 2013).

dimanche 19 janvier 2014

La première représentation du spectacle artistique "Eternité de l'instant"

Une centaine de personnes ont assisté à la première représentation du spectacle artistique Éternité de l'instant, le vendredi 10 janvier dans l'auditorium Jean XXIII à Paris, dans le 5e arrondissement. Il y avait beaucoup d'enthousiasme dans les réactions. Ce qui constitue un bel encouragement pour nous trois (Irina Kotova, Kirill Zaborov et moi-même) pour la poursuite de cette expérience. L'évènement a été annoncé sur plusieurs médias en France (par exemple: 1, 2, 3, 4) et en Biélorussie (1, 2). Le compte rendu de l'ambassade de Biélorussie en France, dès le lendemain, a été notamment repris par la principale agence biélorusse, Belapan (et: 1, 2). L'ensemble du spectacle a été filmé. Le travail sur les images et l'enregistrement a commencé. A suivre donc. Ci-dessous: quelques photographies de cette création.

jeudi 2 janvier 2014

Un reportage de la télévision russe "Soyouz" sur le vernissage de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection" à Paris

La chaine de télévision russe Soyouz a diffusé deux reportages sur le vernissage de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection", de l'artiste biélorusse Irina Kotova dans la galerie d'Orthodoxie.com à Paris. L'exposition se poursuit jusqu'au 11 janvier avec une nocturne le 10 janvier de 20 heures à 21h30. Ci-dessous: la vidéo du reportage (premier reportage, le second sur le site de Soyouz, autre reportage, en  français). Par ailleurs: reportage photographique de l'autre exposition d'Irina Kotova à Paris (galerie Russkiy Mir).

mardi 31 décembre 2013

Vernissages

De g. à dr.: Christophe Levalois, Ilona Yurevich, S.E. Pavel Latushka
En ce mois de décembre ont eu lieu, à Paris, deux vernissages d'expositions d'Irina Kotova. Le premier le 10 décembre, dans la galerie d'Orthodoxie.com, pour l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection". Deux reportages de la télévision orthodoxe russe Soyouz en rendent compte: le premier, le second (sur Youtube). Le deuxième vernissage s'est déroulé dans la galerie Russkiy Mir, le 19 décembre, pour l'exposition "Les ailes de Noël" qui comprend également des œuvres - de la mosaïque textile - de Margarita Kotova, mère d'Irina Kotova. Un reportage photographique vient d'être ajouté sur la page Facebook de la galerie Russkiy Mir. Dans les deux vernissages, j'ai présenté l'exposition avant de donner la parole à d'autres intervenants. Sur la photographie ci-contre, dans la galerie Russkiy Mir, lors de la présentation, je suis aux côtés d'Ilona Yurevich, conseillère à l'ambassade de Biélorussie à Paris, chargée de la coopération avec l'Unesco, et de l'ambassadeur, Pavel Latushka (qui se prononce Latushko), auparavant ministre de la Culture de la République du Bélarus, qui a présidé ce vernissage.