jeudi 25 juin 2015

La rencontre "Solidarité et religion" à Paris, le 18 juin dernier

Lors de notre table ronde - Dans une magnifique salle de réunion très bien équipée

Très intéressante rencontre le jeudi 18 juin dans l'après-midi à Paris sur le thème "Solidarité et religion - Comment prendre la parole sur internet quand on est une association humanitaire ou solidaire avec des racines religieuses". Elle était organisée par la dynamique association Webassoc. De 70 à 80 personnes étaient présentes: principalement des professionnels du web et des responsables de la communication de différents organismes humanitaires à fondement religieux (album de photographies). J'ai animé la première des trois tables rondes. Les interventions ont notamment abordé les questions de présentation et d'image des associations, mais aussi les spécificités de tels organismes, avec les conséquences tant sur la forme que pour la démarche et le sens de ce qui est mis en œuvre, des exemples pratiques ont été donnés. Une autre grande thématique était l'articulation du fondements spirituel avec l'ouverture à la société laïque et aux personnes qui n'ont pas de cheminement religieux ou qui sont athées. Les échanges furent constitués de réflexions quant au sens, de témoignages, par la relation de réalisations concrètes avec les résultats, les points forts et les difficultés rencontrées. Les personnes avec qui j'ai pu discuter à l'issue de cette journée étaient non seulement satisfaites d'un tel évènement, mais souhaitaient qu'il soit suivi d'autres rencontres similaires. 
Notre table ronde, à mes côtés, à droite Ines Azaïs, directrice de Talents et foi, à gauche Pauline Simon, responsable communication de la Fédération d'entraide protestante

Ajout (10 juillet): les enregistrements de la rencontre ont été ajoutés sur la page dédiée à l'évènement.

lundi 22 juin 2015

A l'orée de l'été: histoire et cinéma dans un jardin fleuri

Avec Valentine Varela
Hier, 21 juin, belle rencontre sous un radieux soleil estival, au milieu des fleurs et de l'abondante végétation du jardin de la paroisse Saint-Séraphin de Sarov à Paris, avec Valentine Varela. Comédienne, réalisatrice, elle est venue avec une très sympathique équipe pour les besoins d'un documentaire sur le passeport Nansen pour la chaine de télévision Arte (la diffusion est envisagée pour début 2016). C'était pour moi une très bonne surprise de rencontrer une comédienne dont j'avais apprécié la performance dans deux rôles. Elle est une inoubliable Mme de Montespan (une photographie) dans le très beau film de sa mère, Nina Companeez, intitulé L'Allée du roi, d'après le roman de Françoise Chandernagor (un extrait: une éblouissante scène d'un bal dans le bosquet des Rocailles des jardins de Versailles). Une histoire remarquablement contée avec des acteurs qui donnent vie à leurs personnages et notamment les excellents Didier Sandre, un saisissant Louis XIV, manifestant une majesté ostensible qui dompte une humanité dont on perçoit cependant toute la sensibilité, et Dominique Blanc, en Mme de Maintenon, qui elle associe l'humilité, mais aussi la ténacité et l'extrême finesse de l'intelligence, occupée, comme elle le dit, à "écrire son histoire". J'avais revu Valentine Varela dans Voici venir l'orage..., également de Nina Companeez, la captivante saga de sa propre famille (bande annonce) dans la première moitié du 20e siècle. Elle y joue le rôle (un extrait, elle rencontre son futur mari, Micha) de sa grand-mère, dans un film réalisé par sa mère ! En somme, dans le film de sa mère, elle est devenue la mère de sa mère ! J'ignore si il y a un autre exemple dans l'histoire du cinéma ! J'ai vu aussi quelques passages de son touchant documentaire, Une voix en exil (premières images, un extrait), sur sa tante, Irène Companeez, chanteuse, cantatrice (un enregistrement de 1958), qui a perdu sa voix à 35 ans et qui vit aujourd'hui dans un coin de la Guadeloupe où ma famille séjourne régulièrement.

vendredi 12 juin 2015

Une rencontre interreligieuse sur la prière du 26 au 28 juin près de Paris

Je participerai les 27 et 28 juin à la rencontre interreligieuse sur la prière organisée par le Centre védantique Ramakrishna près de Paris. Les intervenants représentent les différentes traditions chrétiennes (catholique, protestante et...orthodoxe), mais aussi juive, musulmane, bouddhiste, hindouiste, baha’ie. Une soirée musicale aura lieu le samedi. L'entrée est libre pour les interventions. Les repas (cuisine végétarienne hindoue) sont payants.

samedi 6 juin 2015

Deux photographies exceptionnelles datant de 1858 de Marie de Castellane et du prince Antoine Radziwill

Grâce à la très grande amabilité de Stanislas Dwernicki, deux photographies exceptionnelles de Marie de Castellane (1840-1915) avec son époux, le prince Antoine Radziwill (1833-1904), ont été portées à ma connaissance et la première est actuellement présentée au château de Nesvizh dans l'exposition en cours consacrée à Marie de Castellane. Ces deux photographies datent de 1858 ! C'est-à-dire moins de 20 ans après les débuts de la photographie. Ce sont de jeunes mariés. En effet, leur mariage a eu lieu l'année précédente au château de Sagan (aujourd'hui en Pologne), demeure de la grand-mère et marraine de Marie de Castellane, qui a arrangé leur mariage, Dorothée, princesse de Courlande, duchesse de Dino (1793-1862), qui seconda Talleyrand dans ses missions diplomatiques à partir du Congrès de Vienne (1814-1815). Marie de Castellane a alors 18 ans et son époux 25. La seconde photographie est très étonnante. On y voit Marie de Castellane de dos ! Pour observer le remarquable travail que constitue sa coiffe ?
Pour agrandir chaque photographie au maximum, faire un clic droit sur celle-ci, puis sélectionner "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet", ou, au choix, "Ouvrir le lien dans une nouvelle fenêtre".
Marie de Castellane et le prince Antoine Radziwill en 1858




Marie de Castellane de dos, en 1858

mercredi 3 juin 2015

Webassoc: le web généreux

Webassoc est une association d'un an et demi d'existence avec déjà beaucoup de réalisations à son actif. Son objectif ? C'est "une communauté de professionnels du web qui aident bénévolement les associations humanitaires, caritatives ou environnementales, à utiliser les nouvelles technologies". Actuellement, de nombreuses associations naissent et se développent avec pour but de faire face à la désespérance et défis du temps apportant une vision positive et constructrice du monde - ce qui ne veut pas dire naïve - en s'appuyant sur ce qu'il y a de mieux pour cela: des actions concrètes. Webassoc fait partie de cette heureuse galaxie qui permet à notre société d'avoir un avenir digne des plus belles promesses que porte notre humanité et non pas de glisser sur la pente douloureuse et finalement absurde de la barbarie, de toutes le barbaries. Aujourd'hui, j'en ai découvert une autre, un site internet, L'humanosphère. J'ai déjà dit tout le bien que je pense de l'association Reporters d'espoirs, qui œuvre dans le domaine des médias. Sa vidéo de présentation est remarquable à cet égard.
Le 18 juin, dans l'après-midi, je participe à une nouvelle rencontre prometteuse organisée par Webassoc, par l'animation d'une table ronde, sur le thème "Solidarité et religion - Comment prendre la parole sur internet quand on est une association humanitaire ou solidaire avec des racines religieuses". Elle se déroulera dans le 7e arrondissement de la capitale.

samedi 30 mai 2015

Le dépliant de l'exposition sur Marie de Castellane au château de Nesvizh (Biélorussie)

Je viens de recevoir le fichier du dépliant de l'exposition Marie de Castellane (1840-1915), princesse Radziwill, au château de Nesvizh en Biélorussie. Il comprend deux textes que j'ai écrit et qui ont été traduits en russe par Irina Kotova. L'un, sur un des côtés, est une courte biographie de Marie de Castellane. L'autre texte présente le livret d'une soirée théâtrale au château de Rochecotte, le 25 septembre 1867. Ci-dessous: les deux côtés du dépliant (cliquez sur chaque image pour l'agrandir).


jeudi 21 mai 2015

Ouverture de l'exposition Marie de Castellane au château de Nesvizh (Biélorussie)


Le vendredi 15 mai a été inaugurée l'exposition consacrée à Marie de Castellane (1840-1915) (1) au château de Nesvizh en Biélorussie. L'idée de cette exposition vient d'une conversation que j'ai eu le 8 août 2014 avec le directeur du château de Nesvizh, Sergeï Klimov que j'ai accompagné récemment lors d'une visite en France (compte rendu en Biélorussie). J'ai participé au catalogue de l'exposition qui vient de paraître en russe. Les grands médias ont largement rendu compte du lancement de l'exposition qui durera jusqu'à fin août, voire un peu plus. Ainsi, une reportage a été effectué pour le journal télévisé de la Première chaîne de la télévision biélorusse (Belarus 1). On peut le visionner sur cette page (juste la vidéo). Un reportage photographique est proposé ici. Ci-dessous, un reportage d'une autre chaîne de télévision biélorusse également pour le journal télévisé.



Par ailleurs, une autre exposition, intitulée "Les Radziwill et le livre" se termine à Bibliothèque nationale de Biélorussie à Minsk. Je ne suis pas étranger à sa tenue, avec Irina Kotova, car c'est de nos discussions lors d'une visite l'été dernier qui ont donné l'idée à la responsable du musée du livre qui se trouve dans la Bibliothèque nationale. Sur cette exposition: un reportage vidéo, un reportage photographique, d'autres photographies sur le site de la bibliothèque.

Marie de Castellane, princesse Radziwill, vers 1890

vendredi 8 mai 2015

Une projection à Paris du film sur l'artiste de l'avant-garde russe Edik Steinberg

Le film de Gilles Bastianelli sur l'artiste de l'avant-garde russe Edik Steinberg (1) sera projeté le vendredi 29 mai en soirée à Paris (salle Saint-Alexandre, 8-10, rue saint Christophe, 15e). Entrée libre. Voir l'affiche ci-dessous (en plus grand ici). A cette occasion, le livre paru récemment sur l'artiste, de Galina Manevich et de Gilles Bastianelli, sera proposé à la vente et à la dédicace. Il sera également possible d'acquérir le DVD du film.


mardi 5 mai 2015

Urbanisme, architecture et histoire: Berlin au début du XXe siècle


Récemment, une vidéo avec des images colorisées de Berlin en ruines, en juillet 1945, a été mise en ligne ici. Ce sont des images terribles d'un gigantesque désastre humain, architectural et urbanistique. Justement, dernièrement, la recherche d'informations sur les lieux des Radziwill à Berlin au XIXe et au XXe siècle, m'a amené sur ce site qui présente une longue page avec de nombreuses et magnifiques photographies (dont certaines aériennes) de Berlin au début du XXe siècle (dont celles ci-dessus). Une très grande capitale avec des édifices majestueux. Certes, l'ensemble est hiératique,  avec des réalisations parfois démesurées (comme dans toutes les capitales contemporaines), illustre (trop pour mon goût) l'ordre prussien, se veut le témoignage (convaincant) d'une très grande puissance entreprenante, néanmoins c'est une réussite urbanistique qui ne manque ni d'allure, ni de beauté. On en mesure que davantage le désastre occasionné par les tragédies et les folies du XXe siècle. Les reconstructions sont loin d'égaler les bâtiments qui ne sont plus (une série d'exemples sur cette page). Les vidéos en fin de page, des années 30, permettent de voir comment le nazisme marque de son empreinte la ville, de plus en plus militarisée (beaucoup de personnes en uniformes circulent), à l'image de la société enrégimentée, et prépare ainsi aux nombreuses tragédies qui ont suivi.

Ci-dessous: un exemple de la différence entre le début du XXe siècle et aujourd'hui avec le n°3 de la Pariser Platz ("Place de Paris"). Les Radziwill résidaient après 1870 au premier étage de la demeure centrale (l'ancien "Palais Wrangel"; source de la photographie ci-dessous). L'édifice actuel est celui d'une banque; il est en partie dédié à l'organisation d'évènements.

samedi 2 mai 2015

Le souvenir de Marie de Castellane, des bords de la Loire à Paris

Au château de Montrésor - je suis à gauche de la comtesse Marie Rey, à sa droite Sergeï Klimov
Visite du château de Montrésor
Dans le cadre d'échanges culturels entre la France et la Biélorussie et d'une exposition très prochaine et de travaux sur Marie de Castellane (1840-1915), princesse Radziwill, j'ai accompagné le directeur du château de Nesvizh (Biélorussie), Sergeï Klimov, son assistante, Natalia Zherko, avec Irina Kotova, en février pour plusieurs visites, dont durant deux jours dans la vallée de la Loire. Au château de Chambord, une présentation privée du château était organisée pour nous. Ce fut l'occasion pour moi de découvrir ce superbe château par son architecture et son environnement, mais guère pensé pour l'habitation (très froid l'hiver, très longtemps infesté de moustiques l'été). Le lendemain, la directrice du château royal de Blois a elle-même guidé une passionnante visite. De cette rencontre est né un projet d'une exposition dans les années à venir qui après Blois ira au château de Nesvizh. Nous nous sommes ensuite rendus au château de Montrésor, autre visite très riche. Nous y avons rencontré la comtesse Marie Rey, née Potocka, arrière-petite-fille de Marie de Castellane, entourée de plusieurs membres de sa famille. Nous avons beaucoup parlé, elle nous a montré de nombreux documents (lettres, portraits, photographies) sur l'histoire familiale. L'une des filles de la comtesse, Isabelle, nous a ensuite montré le château dont les premières fondations remontent au début du XIe siècle au célèbre et turbulent comte d'Anjou Foulque Nerra. La demeure a été restaurée au milieu du XIXe siècle par le comte polonais Xavier Branicki, dont la famille châtelaine descend. Nous avons pu y admirer de très beaux meubles et des peintures de la Renaissance italienne et d'autres de Van Loo, Vigée-Lebrun, Winterhalter. Ensuite, nous avons fait route jusqu'au château de Rochecotte (précédente visite), où le souvenir de Marie de Castellane est très présent, ainsi que celui de sa grand-mère Dorothée, princesse de Courlande, duchesse de Dino, mais aussi celles d'autres personnes comme Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, le grand diplomate français du XIXe siècle. Toujours splendide ! On a répondu à notre curiosité de voir quelques unes des chambres (dont des suites), ce qui nous a permis d'y voir le travail accompli très soigné, de qualité, réalisé avec beaucoup de goût. Deux jours plus tard, à Paris, nous avons rencontré une autre arrière-petite-fille de Marie de Castellane, née également Potocka, Isabelle d'Ornano, qui, avec son mari, est à la tête de l'entreprise Sisley. Le lendemain, sans moi, Sergeï Klimov, Natalia Zherko et Irina Kotova se sont rendus au château de Chantilly où, après une rencontre avec une conservatrice, un projet commun a été posé.
Au château de Rochecotte -en discussion avec Mme Pasquier, directrice, aux côtés de Sergeï Klimov, Natalia Zherko et Irina Kotova
Au siège de Sisley à Paris avec Isabelle d'Ornano

samedi 25 avril 2015

Vidéo du spectacle artistique en interaction "Par-delà l'horizon" (Paris, le 5 février 2015)

Le 5 février dernier, dans l'auditorium Jean XXIII à Paris, nous avons donné, avec Irina Kotova et Nana Péradzé, une performance artistique en interaction intitulée "Par-delà l'horizon" (dossier de presse, présentation et programme). A partir de mes textes, que je lisais, Nana Péradzé jouait au piano et Irina Kotova dessinait. Un compte rendu de cette soirée se trouve ici.

Ci-dessous: la vidéo de la performance.

 

samedi 11 avril 2015

Recension: 52 figures contemporaines lumineuses pour espérer malgré tout dans l'humanité - Un livre de Michel Cool

Au mois d'octobre de l'année dernière, Michel Cool a publié aux éditions Salvator un nouvel ouvrage intitulé La nouvelle légende dorée - 52 saints pour aujourd'hui. Sont présentées dans de courts chapitres 52 personnalités contemporaines, 52 "figures de sainteté" œcuméniques (catholiques, protestantes, orthodoxes), qui furent des lumières pour le monde par le témoignage qu'ils ont donné par leur vie et leur action, et cela de bien des manières. A une heure où certains parlent volontiers avec facilité et bien légèrement de l'obscurantisme des religions, il s'avère très important de montrer qu'il existe aussi de nombreuses figures lumineuses et très positives qui grâce à la foi qui les irradiait ont apporté d'inestimables biens au monde. A ne pas oublier et  à mettre en opposition à des actions et à des personnages qui effectivement obscurcissent et blessent cruellement l'humanité et le monde au nom d'une religion. Le livre de Michel Cool est une lecture indispensable et revigorante pour ceux qui doutent de l'humanité et des bienfaits que peuvent apporter, aussi, malgré tout, les traditions religieuses. Une initiative éditoriale intéressante et utile serait maintenant de publier un ouvrage similaire élargi à des "figures de sainteté" contemporaines  dans toutes les grandes traditions religieuses du monde. Puis un autre avec des personnalités semblables par la vie et l'action, mais athées ou agnostiques et qui ne se situent pas dans une tradition spirituelle.

Complément: Michel Cool a enregistré sur RCF plusieurs émissions dont chacune présente en quelques minutes une de ces figures. Un exemple: celle qui évoque mère Marie Skobtsov, moniale orthodoxe, Juste parmi les nations, morte en déportation à Ravensbrück la veille de la fête de Pâques 1945, canonisée par le Patriarcat de Constantinople en 2004.

vendredi 3 avril 2015

Un premier concert à Paris pour la sortie du CD "Dialogue" (piano)

Ces jours ci (le 6 avril, Amazon et Qobuz) aura lieu la sortie du CD "Dialogue" sous le label Fuga Libera du groupe Outhere. La pianiste Laurence Oldak (son site personnel) y interprète des œuvres d'Alexandre Scriabine et de Kirill Zaborov. Le livret d'accompagnement peut être lu en ligne ici. Des morceaux peuvent être écoutés en ligne sur cette page du site de Laurence Oldak. Un premier concert se déroulera le lundi 13 avril en soirée dans la salle Adyar à Paris. Ci-dessous: l'affiche du concert.


La vidéo de présentation du disque ("album trailer"):


Complément (17 avril): des œuvres du disque ont été diffusées dans l'émission "En pistes !" sur Radio France Musique aujourd'hui.

mardi 24 mars 2015

"L'Eglise 2.0 - enjeux de communication sur réseaux pour l'Eglise"

Lors du XVe congrès orthodoxe en Europe occidentale, qui se tiendra à Bordeaux du 30 avril au 3 mai (affiche), je participerai, pour une co-animation, à l'atelier "L’Église 2.0 - enjeux de communication sur réseaux pour l’Église". Il se déroulera le vendredi 1er mai dans l'après-midi (programme général, les différents ateliers).
Après une introduction, trois axes de réflexion seront approfondis par des groupes de travail:
- Un défi chrétien : de la communication à la communion
- Un défi chrétien: quelle relation avec la technologie ?
- Un défi chrétien: réseaux sociaux et internet, partage d'expériences.

Complément: le dossier préparation du congrès (23 pages) qui comprend notamment, outre le programme, une présentation des différents intervenants, des conférences, des ateliers et des tables rondes.

lundi 23 février 2015

Art et spiritualité: Edik Steinberg

Lors de la projection dans la salle paroissiale
Hier, dans la paroisse Saint-Séraphin de Sarov à Paris, en début d'après-midi, a été projeté un film sur Edik Steinberg, un artiste peintre très connu de l'avant-garde russe, décédé à Paris en 2012. Toute l'assistance a été très touchée par ce film et par les témoignages. Celui-ci a été présenté par son réalisateur, Gilles Bastianelli, en présence de la femme de l'artiste, Galina Manevich, paroissienne à Saint-Séraphin de Sarov. Considéré comme un successeur de Kasimir Malévitch, donc dans la ligne du suprématisme, Edik Steinberg y a apporté une dimension spirituelle très forte. Des personnes qui l'ont bien connu ont aussi témoigné lors de cette présentation. Un beau et consistant livre d'art, que j'ai pu feuilleter, consacré à Edik Steinberg, dont les auteurs sont Galina Manevich et Gilles Bastianelli,  sera diffusé en librairie en mars (couverture ci-dessous).
Sur Edik Steinberg: cet article sur sa vie et son oeuvre, la page Wikipedia en anglais le concernant. Une présentation avec des œuvres et des albums sur le site de la galerie Claude Bernard à Paris. Une exposition en 2014 au musée Pouchkine à Moscou. Début 2015, le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg lui a dédié une salle.
Plusieurs extraits du film qui nous a été projeté se trouvent sur l'Internet, en voici un :

La couverture du livre, en librairie en mars

samedi 14 février 2015

Le spectacle artistique en interaction "Par-delà l'horizon" (Paris, 5 février 2015)

Lors d'une lecture ce 5 février
Une cinquantaine de personnes étaient présentes lors de la performance artistique en interaction "Par-delà l'horizon" (affiche, dossier de presse, présentation et programme) que nous avons donné avec Irina Kotova et Nana Péradzé le 5 février dernier dans l'auditorium Jean XXIII à Paris. Après le mot d'accueil de Marie-Paule Connan, responsable des ressources humaines et de la communication de la Mutuelle Saint-Christophe assurances, la représentation a duré une quarantaine de minutes. Parmi les personnes et amis qui y ont assisté: l'ambassadeur de Biélorussie et son représentant à l'Unesco, ancien ministre de la Culture de la République du Bélarus, Pavel Latushka, accompagné de Victor Alshevsky, artiste très connu en Biélorussie, le premier conseiller de l'ambassade de Géorgie, chargé des affaires culturelles, Nodar Nutsubidze, l'ancienne première conseillère de l'ambassade de France en Biélorussie, Lise Talbot-Barré, les prêtres orthodoxes Jivko Panev (directeur d'Orthodoxie.com) et Ivan Karageorgiev (co-secrétaire du Conseil des Églises chrétiennes en France), le grand artiste français d'origine biélorusse Boris Zaborov, le président du Festival des Francopoésies (Val d'Yerres), Michel Mella, le co-directeur artistique du Festival de musique du Chablisien, Mario Hacquard, les artistes Justine Getty, Irina Gradovova (qui a filmé) et Arnaud Prinstet, l'organisatrice d'évènements culturels Anastasia Gaï, des responsables de l'association parisienne "Art, culture et foi", etc. Les réactions, après la représentation, ont été, une nouvelle fois, très positives et très encourageantes. Voici quelques photographies (cliquez dessus pour les agrandir).
Nana Péradzé (de dos) au piano face à Irina Kotova



















Lors de la performance


De gauche à droite: Nana Péradzé, Nodar Nutsubidze, premier conseiller de l'ambassade de Géorgie, Christophe Levalois, Irina Kotova, Pavel Latushka, ambassadeur de Biélorussie
Nana Péradzé à la fin de la performance
De gauche à droite: Christophe Levalois, Boris Zaborov, Irina Kotova, Victor Alshevsky


Lors d'une rencontre pour préparer la performance, de gauche à droite: Nana Péradzé, Christophe Levalois, Irina Kotova

Les photographies proviennent de Studia "F" (signature en bas à droite) ou d'Arnaud Alabeurte-Mozaliewsky. Un grand merci à eux.

Compléments:  
Un compte rendu, en russe, de la performance a été publié sur le site de l'ambassade de la République du Bélarus en France et sur celui d'une agence de presse biélorusse.

Une des compositions de Nana Péradzé jouée lors de la performance est en ligne sur Youtube (elle est interprétée sur cette page avec un autre piano que celui utilisé lors de la représentation).