jeudi 20 février 2014

La version sous-titrée en français du film "Paris imaginaire" dans son intégralité

La version sous-titrée en français du film Paris imaginaire peut-être visionnée dans son intégralité ci-dessous (sur Youtube). Ce film de la télévision biélorusse (Première chaine, réalisateur: Serge Katier), consacré au parcours artistique d'Irina Kotova et à Boris Zaborov, a été tourné en 2010 (2013 pour la version sous-titrée en français). J'y ai participé, en étant filmé et en lisant certains de mes textes. D'autres textes sont de Boris Zaborov. La version originale, en russe, avec quelques minutes en plus, a été depuis diffusée à plusieurs reprises sur la télévision biélorusse, il y a quelques jours encore sur la troisième chaîne. Le film a été réalisé à l'occasion de deux expositions: la rétrospective de Boris Zaborov au Musée national des beaux-arts de Biélorussie, à Minsk, en 2010, et l'exposition d'Irina Kotova, "Paris imaginaire", en 2010-2011, également au Musée national des beaux-arts de Biélorussie. Il a remporté deux prix en Russie (1, 2).

lundi 17 février 2014

"Rentrant alors en lui-même, il se dit", le retournement vers l'intérieur: ma chronique du 16 février

Ma chronique du 16 février dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et enregistrement), sur Radio Notre-Dame, évoque le retournement vers l'intérieur à partir d'un passage de l’Évangile de Luc, le passage relatif au "Fils prodigue", plus particulièrement lorsqu'il est dit: "Rentrant alors en lui-même, il se dit" (Luc 15, 17). Voici le texte de cette chronique.

Le retour du Fils prodigue par Rembrandt (source)
Dans l’Évangile de ce jour, celui du Fils prodigue, dans Luc 15, 11-32, le tournant décisif a lieu lorsque le fils égaré prend conscience de sa misère et par contrecoup de ce qu’il a perdu. Les choses deviennent alors très claires pour lui. Le moment précis de ce retournement est ainsi exprimé : « Rentrant alors en lui-même, il se dit ». Ce court passage est capital et nous indique toute une démarche d’intériorité. Le verbe grec utilisé a le sens de venir, il nous montre une action, en l’occurrence un déplacement vers l’intérieur. C’est le préalable indispensable au retour à la maison du père, image du royaume céleste perdu.

Il y a véritablement, pour celui qui était perdu, un éveil. L’on pense à la phrase de l’apôtre Paul dans l’épître aux Éphésiens (5, 14) : « Eveille-toi, toi qui dors, lève-toi d’entre les morts, et sur toi le Christ resplendira. » Le fils accompli une ascèse. Il comprend sa situation, son malheur causé par son aveuglement, il est animé par le repentir et manifeste une véritable humilité. C’est pourquoi, bien que loin, son père le voit et arrive encore plus vite pour le retrouver, il court dit le texte.

Nous souhaitons nous arrêter ici quelques instants sur ce mouvement de retournement vers l’intérieur, cette métanoïa. C’est là que tout bascule. Celui qui était dans le désespoir, dans une voie de perdition, au bout de son illusion, trouve le chemin qui sauve et la force de le parcourir.

Plus que jamais aujourd’hui, il s’agit d’un très grand et difficile défi, tant il est profondément vrai que tout est fait pour nous attirer à l’extérieur de nous-mêmes. Selon une expression classique aujourd’hui, très révélatrice, véritable impératif social à la mode, il faut « s’éclater », c’est-à-dire s’éparpiller à la périphérie, dans une périphérie toujours plus lointaine et extérieure à nous-mêmes. On ne saurait être plus éloquent !

jeudi 13 février 2014

Les dimanches qui préparent le Carême dans la tradition orthodoxe: ma chronique du 9 février

Ma chronique du 9 février dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et enregistrement), sur Radio Notre-Dame, avait pour sujet les dimanches qui préparent le Carême dans la tradition orthodoxe. Le texte de cette chronique est ci-dessous.

Ce dimanche est appelé, dans le cycle annuel liturgique orthodoxe, le dimanche du publicain et du pharisien, avec la lecture de l’Évangile de Luc, le chapitre 18, verset 10 à 14. Il marque l’entrée dans un nouveau cycle : le cycle de Pâques. En fait, dès dimanche dernier, appelé dimanche de Zachée, nous sommes entrés dans un cycle de cinq dimanches qui précèdent le Carême, que l’on nomme souvent le grand Carême, pour le distinguer d’autres carêmes dans l’année, c’est-à-dire de périodes de jeûnes pour la préparation d’une grande fête.

Ces dimanches qui conduisent à l’entrée en Carême et en constituent la préparation sont donc aujourd’hui le dimanche du publicain et du pharisien, puis, le dimanche du Fils prodigue, ensuite le dimanche du Jugement, enfin dimanche de l’exil ou de l’expulsion d’Adam, ce sera le 2 mars. Au soir de ce dernier dimanche sont célébrées les vêpres du pardon, au cours desquelles les fidèles se demandent réciproquement pardon. Ces vêpres marquent l’entrée en Carême.

Une autre particularité qui débute aujourd’hui est le commencement du Triode de Carême. Le Triode est le livre liturgique de cette période avec des prières particulières.
Ce cycle prépare aussi au jeûne du Carême. Ainsi, l’avant-dernier dimanche, celui du Jugement, est le dernier où l’on mange de la viande. C’est pourquoi la semaine qui suit est appelée semaine des laitages.
Ainsi, depuis dimanche dernier, nous sommes entrés dans le cycle pascal qui se termine au dimanche qui suit la Pentecôte, fête de tous les saints dans l’orthodoxie.

lundi 10 février 2014

Sujet: l'écran fait-il écran ?

Pause sourire, mais scène bien représentative de situations que nous connaissons tous depuis peu d'années. La photographie ci-dessous circule sur Twitter avec le commentaire suivant : "Photo sidérante: un homme surpris en train de regarder le monde réel sur le quai d'une gare"!

Dans un genre proche, avec en plus une comparaison qui permet de saisir l'évolution de manière très explicite: la première photographie prise au Vatican lors de l’annonce de l'élection du pape Benoit XVI, la seconde, toujours au Vatican, quelques années plus tard, lors de l'annonce de l'élection du pape François.

samedi 8 février 2014

Epuisement, "burn out" et relation à l'autre dans le monde du travail: ma chronique du 2 février

Ma chronique du 2 février dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et enregistrement), sur Radio Notre-Dame,  abordait la question de l'épuisement ("burn out") dans le monde du travail et la relation à l'autre dans cette situation. En voici le texte.

« Quel avantage l’homme aura-t-il à gagner le monde entier, s’il le paie de sa vie ? », nous dit le Christ dans l’Évangile de Matthieu (16, 26). Voilà une parole qu’il est vital de méditer quotidiennement. Dans notre société, devenue surtout utilitariste, tournée vers les richesses matérielles et la performance extérieure, il importe de s’en souvenir comme d’une bouée de salut pour que nous ne perdions pas notre route véritable.

A ce propos, sans doute avez-vous lu de récentes études sur l’épuisement professionnel, ce que l’on appelle communément le « burn out ». Dernièrement, une nouvelle étude a révélé que 3 millions de Français seraient au bord du « burn out », soit pas loin de 10% des actifs, le nouveau mal du siècle selon l’hebdomadaire L’Express qui y a consacré un dossier il y a peu.

A vrai dire, cela ne m’étonne guère, tant je le constate autour de moi dans mon milieu professionnel, celui de l’enseignement. Les charges se sont ajoutées, souvent des travaux périphériques qui conduisent à une dispersion des efforts, les pressions se sont aussi accrues. Cela, alors que par ailleurs les problèmes relationnels se sont complexifiés. Cela fait beaucoup pour tous et trop pour un bon nombre. D’où de nombreuses petites défaillances, des oublis, des coups de fatigue qui reviennent très régulièrement, et parfois de grosses et durables défaillances.

La multiplication des moyens de communication et l’utilisation obligée, sinon compulsive de ceux-ci, a augmenté de manière très importante la pression. Ainsi, pour parler de ce que je connais, je reçois des mails professionnels le soir ou encore le dimanche, alors qu’il s’agissait de moments où une coupure salutaire pouvait s’opérer pour refaire ses forces, prendre du recul et le temps de la réflexion ainsi que de l’approfondissement.

C’est à la fois un problème humain, un problème de société et aussi un problème spirituel.

jeudi 6 février 2014

"Jérusalem": une superbe invitation au voyage

Voici une superbe invitation au voyage en Terre Sainte: ces extraits du film Jérusalem, tourné en IMAX 3D (sur Viméo, avec une meilleure qualité d'image). De magnifiques images. Avec des vues aériennes étonnantes. Se laisser emporter ! Le film est projeté sur des écrans géants depuis septembre 2013 (page Facebook, compte Twitter). La bande-annonce officielle est ici

mercredi 5 février 2014

"Internet est-il un don de Dieu ?"

Intéressants éclairages sur France-Culture, dans l'émission de radio "La place de la toile" du 1er février, intitulée "Internet est-il un don de Dieu ?", sur l'Internet et la religion, la vision et les pratiques, à partir de l'exemple du catholicisme et de l'islam.

samedi 1 février 2014

Dans le bimestriel "Pasteur"

Ce n'est qu'il y a peu que j'ai pris connaissance de ce bref compte rendu (ci-dessous) de la parution de Prendre soin de l'autre - Une vision chrétienne de la communication publié par le bimestriel catholique du 15e arrondissement de Paris, dont le titre est Pasteur, dans son numéro 258 (juin-juillet 2013).

lundi 27 janvier 2014

Absence d'âme et tristesse, la fête de Noël dans notre société aujourd'hui : ma chronique du 26 janvier

Ma chronique du 26 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et enregistrement), sur Radio Notre-Dame,  portait la fête de Noël dans notre société. En voici le texte.

Aujourd’hui, je souhaite partager une réflexion sur la dernière fête de Noël, plus précisément sur l’étrange impression qu’elle m’a laissée. En observant la façon dont Noël était annoncé, fêté dans notre société française, j’ai eu, pour la première fois de manière très nette, la perception d’un vide et d’une grande tristesse. Beaucoup de lumières, de l’agitation bien artificielle, mais, derrière, rien, le néant qui masque mal l’ennui et le non-sens, aucune résonance, un manque d’âme.

On l’aura compris, depuis longtemps Noël est un rendez-vous commercial, un moyen pour vendre. Aujourd’hui, il n’y a plus que cela. Il s’en dégage la désespérance des choses qui n’ont pas de signification profonde.

La naissance de l’enfant de la réconciliation de la terre et du ciel n’est plus fêtée. Pourtant, que l’on soit croyant ou pas, quelle belle réalité ! Quel beau symbole ! Une naissance au cœur de l’hiver, au moment où les nuits sont les plus longues. L’espoir renaît, le futur recommence à s’écrire. Il me semble que même des non-chrétiens peuvent comprendre l’immense et vitale portée de cette image et cela pour toute société. S’en priver est catastrophique. C’est tout ce que représente cette image, cette vie renouvelée, ce futur, à la fois tant attendu et inespéré, que l’on écarte.

Il est vrai qu’aujourd’hui même le sapin de Noël, bien peu chrétien, mais signifiant, semble effrayer !
Le résultat de ce processus d’amnésie, qui s’est accéléré ces dernières années, est cette agitation privée de sens qui n’est plus qu’un vent sans lendemain.

jeudi 23 janvier 2014

Le film du spectacle artistique en interaction "Eternité de l'instant"

Ci-dessous: le film du spectacle artistique en interaction Éternité de l'instant dont la création a eu lieu le  10 janvier 2014 à l'auditorium Jean XXIII, de la Mutuelle Saint-Christophe assurances, à Paris dans le 5e arrondissement. Dessin, musique et parole poétique en interaction avec Irina Kotova, Kirill Zaborov et moi-même.
Complément (31 janvier 2014): la page d'un site biélorusse sur l'art consacrée à l'évènement. Le film sur Youtube. Il est possible d'afficher la traduction de mes textes en russe au bas de la vidéo sur Youtube en activant le sous-titrage (dans la barre du bas, à droite, entre la petite pendule et la roue dentelée).

mercredi 22 janvier 2014

La confrontation de la société occidentale avec des sociétés non occidentales: ma chronique du 19 janvier

Ma chronique du 19 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, partant d'un discours récent du patriarche de Géorgie, abordait la question des confrontations de différentes sociétés à l'échelle mondiale et plus particulièrement de la société occidentale avec des sociétés non-occidentales. En voici le texte:

Dernièrement, le patriarche de Géorgie Elie II, dans son message pour la fête de la Nativité, a demandé à l’Union européenne de prendre en compte l’aspiration de son pays à préserver ses valeurs traditionnelles. Il a souligné que l’Union européenne ne doit pas essayer d’implanter des idéaux étrangers à la Géorgie comme le mariage de personnes de même sexe. Ce n’est pas la première fois qu’il évoque cette question et fait cette demande. Pour comprendre la portée de son propos, son poids et sa représentativité, il faut savoir que, selon les sondages, le patriarche Elie de Géorgie est la personne la plus populaire du pays.

Cette question ne concerne pas seulement la Géorgie et pas seulement la question du mariage de personnes de même sexe. Dans de nombreux pays d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique, des voix s’élèvent, des masses protestent avec vigueur, contre un modèle de société, à la fois libéral, occidental et consumériste, qui est imposé à ces pays en dépit de la protestation du plus grand nombre. Sans doute faut-il employer le terme de néo-colonialisme, mais à la différence des colonialismes d’antan, il ne se fait pas au nom d’une nation, mais d’un type de société et d’intérêts trans-nationaux.

Le patriarche Elie II a simplement demandé que l’on respecte ce que pensent les Géorgiens. Il a ajouté que ce respect permettrait d’approfondir l’attachement de son pays à l’Europe.

L’Église orthodoxe des pays concernés fait souvent entendre sa voix sur ce sujet. Il est regrettable que de nombreux médias occidentaux n’en retiennent que des extraits de déclarations mises en avant pour susciter la polémique, parfois de personnes non représentatives, au lieu de développer une analyse plus approfondie, au lieu d’essayer de comprendre l’autre avec son histoire, son contexte, ses rêves et ses peurs pour mieux dialoguer et avancer avec lui.

Un bon nombre de ces pays ont connu au XXe siècle, la dévastation du totalitarisme communiste. L’Église est souvent la seule institution historique à avoir résisté à cette longue tourmente, malgré les terribles coups portés. Ce n’est pas pour démissionner maintenant face à un nouveau pouvoir qui tente d’imposer ses vues. Les promesses de lendemains qui chantent accompagnés de toutes sortes de destructions, ces peuples les connaissent et ont payé un prix colossalement élevé pour cela.

dimanche 19 janvier 2014

La première représentation du spectacle artistique "Eternité de l'instant"

Une centaine de personnes ont assisté à la première représentation du spectacle artistique Éternité de l'instant, le vendredi 10 janvier dans l'auditorium Jean XXIII à Paris, dans le 5e arrondissement. Il y avait beaucoup d'enthousiasme dans les réactions. Ce qui constitue un bel encouragement pour nous trois (Irina Kotova, Kirill Zaborov et moi-même) pour la poursuite de cette expérience. L'évènement a été annoncé sur plusieurs médias en France (par exemple: 1, 2, 3, 4) et en Biélorussie (1, 2). Le compte rendu de l'ambassade de Biélorussie en France, dès le lendemain, a été notamment repris par la principale agence biélorusse, Belapan (et: 1, 2). L'ensemble du spectacle a été filmé. Le travail sur les images et l'enregistrement a commencé. A suivre donc. Ci-dessous: quelques photographies de cette création.

samedi 18 janvier 2014

Un dessin animé en russe sur la vie de saint Séraphin de Sarov

En Russie, il y a de nombreuses productions de films et de dessins animés avec pour sujets la foi, l'histoire de l’Église et ses figures. Nous avons mis sur ce blog un dessin animé sur un fol-en-Christ, saint Basile le Bienheureux (XVIe siècle). En voici un autre, en russe également, sur la vie de saint Séraphin de Sarov (1754 ou 1759 - 1833).

vendredi 17 janvier 2014

Les relations oecuméniques et l'unité des chrétiens: ma chronique du 12 janvier

Ma chronique du 12 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, avait pour sujet les relations œcuméniques et l'unité des chrétiens. Voici le texte.

Du 18 au 25 janvier aura lieu la semaine de prière pour l’unité des chrétiens. Cette année le thème est une question extraite de la première épitre aux Corinthiens (1Co 1, 13): « Le Christ est-il divisé ? ». Il s’agit de ce fameux passage où l’apôtre Paul constate des discordes parmi la communauté chrétienne de Corinthe, certains se réclamant de Paul, d’autres d’Apollos, d’autres de Céphas, c’est-à-dire de Pierre. Déjà ! Est-on tenté de dire… Nouvelle illustration de l’actualité toujours étonnante du Nouveau Testament.

Bien entendu, de nombreux orthodoxes se mobilisent pour participer à cette semaine. C’est l’occasion pour nous de dire ici quelques mots sur les relations œcuméniques, notamment entre orthodoxes et catholiques, d’autant plus que nous fêterons cette année le cinquantenaire de la rencontre du patriarche Athénagoras et du pape Paul VI à Jérusalem, première rencontre depuis plus de cinq siècles du pape et du patriarche de Constantinople et début de relations au plus haut niveau entre le siège romain et celui de Constantinople.

Cette rencontre et celles qui ont suivi, ainsi que la levée des sentences d’excommunication de 1054, en 1965, ont suscité un immense espoir et certains ont cru à une réconciliation complète proche, c’est-à-dire à l’union des Églises. Mais les années sont passées et l’union envisagée s’avère une ligne d’horizon bien lointaine.

Aujourd’hui, on peut considérer que les niveaux et les lieux du dialogue œcuménique se sont multipliés et diversifiés. Le dialogue théologique a progressé. L’histoire des Églises a été clarifiée. Les théologiens échangent souvent. L’autre est mieux connu, voire très bien par des spécialistes. Mais, il faut bien le reconnaître, la fin du dialogue théologique n’est pas pour demain.

mardi 7 janvier 2014

"Eternité de l'instant": première représentation

La première représentation de la performance artistique en interaction "Éternité de l'instant", avec Irina Kotova, Kirill Zaborov et moi-même, aura lieu le vendredi 10 janvier à 19 heures. Toutes les informations se trouvent dans le dossier de presse et l'affiche ci-dessous. Une nocturne de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection" aura lieu ensuite jusqu'à 21h30.

dimanche 5 janvier 2014

L'art et la foi

L'émission Lumière de l'orthodoxie du 5 janvier, sur Radio Notre-Dame, est particulière à plus d'un titre: elle propose un thème central, "L'art et la foi", qui est abordé par un entretien d'une dizaine de minutes avec une invitée, l'artiste biélorusse Irina Kotova, et c'est moi qui suis, exceptionnellement, le présentateur de l'émission. L'enregistrement, les textes et différentes informations de cette émission sont en ligne ici.
Lors de l'enregistrement de l'émission - Dans l'un des studios de Radio Notre-Dame

vendredi 3 janvier 2014

Performance artistique à Paris le 10 janvier : "Eternité de l'instant"

Une performance artistique originale, "Éternité de l'instant", aura lieu le vendredi 10 janvier dans la soirée à Paris pour la première fois (à 19 heures au 277, rue Saint-Jacques dans le 5e). Elle met en interaction le dessin, la musique et la poésie. "Pour que la musique devienne trait, couleur, parole ; pour que le crayon et les notes se métamorphosent en mots; pour que le vocable s’affirme image et tonalité." Y participent: l'artiste biélorusse Irina Kotova, le pianiste et compositeur français d'origine biélorusse Kirill Zaborov et moi-même.
De g. à dr.: Kirill Zaborov, Christophe Levalois, Irina Kotova. Dans la salle où aura lieu la performance artistique.

jeudi 2 janvier 2014

Un reportage de la télévision russe "Soyouz" sur le vernissage de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection" à Paris

La chaine de télévision russe Soyouz a diffusé deux reportages sur le vernissage de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection", de l'artiste biélorusse Irina Kotova dans la galerie d'Orthodoxie.com à Paris. L'exposition se poursuit jusqu'au 11 janvier avec une nocturne le 10 janvier de 20 heures à 21h30. Ci-dessous: la vidéo du reportage (premier reportage, le second sur le site de Soyouz, autre reportage, en  français). Par ailleurs: reportage photographique de l'autre exposition d'Irina Kotova à Paris (galerie Russkiy Mir).