Affichage des articles dont le libellé est chroniques. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est chroniques. Afficher tous les articles

lundi 27 janvier 2014

Absence d'âme et tristesse, la fête de Noël dans notre société aujourd'hui : ma chronique du 26 janvier

Ma chronique du 26 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et enregistrement), sur Radio Notre-Dame,  portait la fête de Noël dans notre société. En voici le texte.

Aujourd’hui, je souhaite partager une réflexion sur la dernière fête de Noël, plus précisément sur l’étrange impression qu’elle m’a laissée. En observant la façon dont Noël était annoncé, fêté dans notre société française, j’ai eu, pour la première fois de manière très nette, la perception d’un vide et d’une grande tristesse. Beaucoup de lumières, de l’agitation bien artificielle, mais, derrière, rien, le néant qui masque mal l’ennui et le non-sens, aucune résonance, un manque d’âme.

On l’aura compris, depuis longtemps Noël est un rendez-vous commercial, un moyen pour vendre. Aujourd’hui, il n’y a plus que cela. Il s’en dégage la désespérance des choses qui n’ont pas de signification profonde.

La naissance de l’enfant de la réconciliation de la terre et du ciel n’est plus fêtée. Pourtant, que l’on soit croyant ou pas, quelle belle réalité ! Quel beau symbole ! Une naissance au cœur de l’hiver, au moment où les nuits sont les plus longues. L’espoir renaît, le futur recommence à s’écrire. Il me semble que même des non-chrétiens peuvent comprendre l’immense et vitale portée de cette image et cela pour toute société. S’en priver est catastrophique. C’est tout ce que représente cette image, cette vie renouvelée, ce futur, à la fois tant attendu et inespéré, que l’on écarte.

Il est vrai qu’aujourd’hui même le sapin de Noël, bien peu chrétien, mais signifiant, semble effrayer !
Le résultat de ce processus d’amnésie, qui s’est accéléré ces dernières années, est cette agitation privée de sens qui n’est plus qu’un vent sans lendemain.

mercredi 22 janvier 2014

La confrontation de la société occidentale avec des sociétés non occidentales: ma chronique du 19 janvier

Ma chronique du 19 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, partant d'un discours récent du patriarche de Géorgie, abordait la question des confrontations de différentes sociétés à l'échelle mondiale et plus particulièrement de la société occidentale avec des sociétés non-occidentales. En voici le texte:

Dernièrement, le patriarche de Géorgie Elie II, dans son message pour la fête de la Nativité, a demandé à l’Union européenne de prendre en compte l’aspiration de son pays à préserver ses valeurs traditionnelles. Il a souligné que l’Union européenne ne doit pas essayer d’implanter des idéaux étrangers à la Géorgie comme le mariage de personnes de même sexe. Ce n’est pas la première fois qu’il évoque cette question et fait cette demande. Pour comprendre la portée de son propos, son poids et sa représentativité, il faut savoir que, selon les sondages, le patriarche Elie de Géorgie est la personne la plus populaire du pays.

Cette question ne concerne pas seulement la Géorgie et pas seulement la question du mariage de personnes de même sexe. Dans de nombreux pays d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique, des voix s’élèvent, des masses protestent avec vigueur, contre un modèle de société, à la fois libéral, occidental et consumériste, qui est imposé à ces pays en dépit de la protestation du plus grand nombre. Sans doute faut-il employer le terme de néo-colonialisme, mais à la différence des colonialismes d’antan, il ne se fait pas au nom d’une nation, mais d’un type de société et d’intérêts trans-nationaux.

Le patriarche Elie II a simplement demandé que l’on respecte ce que pensent les Géorgiens. Il a ajouté que ce respect permettrait d’approfondir l’attachement de son pays à l’Europe.

L’Église orthodoxe des pays concernés fait souvent entendre sa voix sur ce sujet. Il est regrettable que de nombreux médias occidentaux n’en retiennent que des extraits de déclarations mises en avant pour susciter la polémique, parfois de personnes non représentatives, au lieu de développer une analyse plus approfondie, au lieu d’essayer de comprendre l’autre avec son histoire, son contexte, ses rêves et ses peurs pour mieux dialoguer et avancer avec lui.

Un bon nombre de ces pays ont connu au XXe siècle, la dévastation du totalitarisme communiste. L’Église est souvent la seule institution historique à avoir résisté à cette longue tourmente, malgré les terribles coups portés. Ce n’est pas pour démissionner maintenant face à un nouveau pouvoir qui tente d’imposer ses vues. Les promesses de lendemains qui chantent accompagnés de toutes sortes de destructions, ces peuples les connaissent et ont payé un prix colossalement élevé pour cela.

vendredi 17 janvier 2014

Les relations oecuméniques et l'unité des chrétiens: ma chronique du 12 janvier

Ma chronique du 12 janvier dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, avait pour sujet les relations œcuméniques et l'unité des chrétiens. Voici le texte.

Du 18 au 25 janvier aura lieu la semaine de prière pour l’unité des chrétiens. Cette année le thème est une question extraite de la première épitre aux Corinthiens (1Co 1, 13): « Le Christ est-il divisé ? ». Il s’agit de ce fameux passage où l’apôtre Paul constate des discordes parmi la communauté chrétienne de Corinthe, certains se réclamant de Paul, d’autres d’Apollos, d’autres de Céphas, c’est-à-dire de Pierre. Déjà ! Est-on tenté de dire… Nouvelle illustration de l’actualité toujours étonnante du Nouveau Testament.

Bien entendu, de nombreux orthodoxes se mobilisent pour participer à cette semaine. C’est l’occasion pour nous de dire ici quelques mots sur les relations œcuméniques, notamment entre orthodoxes et catholiques, d’autant plus que nous fêterons cette année le cinquantenaire de la rencontre du patriarche Athénagoras et du pape Paul VI à Jérusalem, première rencontre depuis plus de cinq siècles du pape et du patriarche de Constantinople et début de relations au plus haut niveau entre le siège romain et celui de Constantinople.

Cette rencontre et celles qui ont suivi, ainsi que la levée des sentences d’excommunication de 1054, en 1965, ont suscité un immense espoir et certains ont cru à une réconciliation complète proche, c’est-à-dire à l’union des Églises. Mais les années sont passées et l’union envisagée s’avère une ligne d’horizon bien lointaine.

Aujourd’hui, on peut considérer que les niveaux et les lieux du dialogue œcuménique se sont multipliés et diversifiés. Le dialogue théologique a progressé. L’histoire des Églises a été clarifiée. Les théologiens échangent souvent. L’autre est mieux connu, voire très bien par des spécialistes. Mais, il faut bien le reconnaître, la fin du dialogue théologique n’est pas pour demain.

dimanche 5 janvier 2014

L'art et la foi

L'émission Lumière de l'orthodoxie du 5 janvier, sur Radio Notre-Dame, est particulière à plus d'un titre: elle propose un thème central, "L'art et la foi", qui est abordé par un entretien d'une dizaine de minutes avec une invitée, l'artiste biélorusse Irina Kotova, et c'est moi qui suis, exceptionnellement, le présentateur de l'émission. L'enregistrement, les textes et différentes informations de cette émission sont en ligne ici.
Lors de l'enregistrement de l'émission - Dans l'un des studios de Radio Notre-Dame

mardi 24 décembre 2013

Chemin spirituel chrétien et transformation intérieure: ma chronique du 22 décembre

Ma chronique du 22 décembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, abordait la question de la transformation intérieure dans un chemin spirituel chrétien à l’occasion de la parution récente d'un ouvrage passionnant.

Le temps de la Nativité, et plus généralement la période hivernale, est tout particulièrement propice à un regard porté sur soi-même en vue d’un renouvellement. Le livre du père Philippe Dautais, paru il y a peu, intitulé Si tu veux entrer dans la vie - Thérapie et croissance spirituelle, aux éditions Nouvelle Cité, s’avère précieux à cet égard. Il approfondit la question de la transformation de notre intériorité selon le projet voulu par Dieu pour l’être humain. Celui-ci peut se résumer en disant- en reprenant les versets 26 et 27 du chapitre 1 de la Genèse - qu’il s’agit de passer de l’image à la ressemblance. Le père Philippe rappelle que « la plupart des Pères de l’Église font la distinction entre l’image qui est inscrite dans l’être humain et la ressemblance qui est à acquérir par une coopération divino-humaine ». Cette démarche amène à affronter pour les traverser, et s’en enrichir, les épreuves, obstacles et douleurs que l’on rencontre dans l’existence et qui s’opposent à cette transformation.

Cette question, qui rassemble foi, tradition chrétienne, psychologie et tradition ascétique, a été plusieurs fois traitée par des auteurs orthodoxes contemporains. Je pense notamment à Jean-Claude Larchet, avec ses ouvrages sur la thérapeutique et la théologie de la maladie, la souffrance, l’inconscient spirituel, etc., mais aussi au livre d’un évêque grec, Mgr Hiérothéos (Vlachos), métropolite de Nafpaktos, nommé Psychothérapie orthodoxe, dont l’édition française est aujourd’hui épuisée.

Le livre du père Philippe Dautais offre une remarquable synthèse sur ces questions, accessible à tous. Elle est le fruit, d’une part, de son expérience pastorale, il est prêtre orthodoxe au sein de la Métropole roumaine, mais aussi des nombreuses sessions, retraites et conférences qu’il a organisé et donné, notamment au Centre Sainte-Croix, en Dordogne, qu’il a fondé et dirige avec son épouse.
Son enseignement s’appuie sur les Écritures, la tradition des Pères de l’Église et la tradition ascétique orthodoxe, qui s’exprime notamment dans la Philocalie.

Son livre commence par poser la base : qu’est-ce que l’homme ? Car finalement, tout découle de la façon dont nous voyons l’être humain, nous-même et l’autre, mais aussi et d’abord, de la façon dont Dieu voit l’être humain, ce que nous rapportent les Écritures. A cet égard, le père Philippe sait mettre en valeur et expliquer des passages particulièrement signifiants des Écritures. Il met ainsi remarquablement en lumière que la limite posée par Dieu au commencement, l’interdit de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, est une invitation à la croissance. Il explique notamment : « Par la confrontation aux limites, nous sommes renvoyés à la nécessité d’aller chercher de nouvelles ressources dans nos profondeurs. Les limites deviennent des possibilités de croissance. »

mardi 17 décembre 2013

La fête de la Nativité dans l'Eglise orthodoxe: ma chronique du 15 décembre

Ma chronique du 15 décembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, avait pour thème la fête de la Nativité dans l’Église orthodoxe. Pour la lire, cliquez ici.

Photographie: une Nativité d'Irina Kotova présentée lors de l'exposition "De l'Incarnation à la Résurrection" à Paris du 10 décembre 2013 au 11 janvier 2014 (affiche).

lundi 9 décembre 2013

"Vies des saints serbes": ma chronique du 8 décembre

Ma chronique du 8 décembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes et podcast), sur Radio Notre-Dame, avait pour sujet la parution des Vies des saints serbes de saint Justin Popovic aux éditions L'Age d'Homme. Ci-dessous: le texte de cette chronique.

Les éditions L’Age d’Homme ont publié cette année, dans l’excellente collection « Grands spirituels orthodoxes du XXe siècle », dirigée par Jean-Claude Larchet, la traduction française des Vies des saints serbes du père Justin Popovic, devenu lui-même saint depuis sous le nom de saint Justin de Tchélié (Celije) et qui est fêté le 1er juin.  Ce synaxaire - vies des saints en suivant le calendrier - de 470 pages permet non seulement de prendre connaissance des nombreux saints et saintes qui y sont évoqués, en tout 62, mais aussi d’entrer dans l’histoire et la richesse spirituelle du peuple serbe.

C’est une histoire pleine de nombreux combats et de beaucoup de souffrances ainsi que de sacrifices collectifs au fil des siècles. Aujourd’hui, c’est encore le cas avec le Kosovo. Rappelons juste que le peuple serbe a été pendant des siècles en première ligne face aux invasions de l’Empire ottoman et qu’il a, de ce fait, été le défenseur pendant des siècles de l’Europe chrétienne, ce qu’il a payé par un prix très élevé en vies humaines et en destructions. Au XXe siècle, après la domination ottomane, plusieurs tragédies historiques l’ont frappé cruellement : les deux guerres mondiales et le régime communiste. Cette très longue mémoire est toujours présente aujourd’hui. Cette histoire explique aussi qu’un nombre important de rois, de reines et de princes se trouvent dans cet ouvrage. En effet, un tiers des saints présentés ont une ascendance noble.

Je présenterai juste, rapidement, trois exemples. Le premier est saint Sava. Le grand saint national serbe. Né vers 1169, mort en 1236, fils du roi Stefan Nemanja, lui-même saint très populaire sous le nom de saint Syméon le Myroblite, saint Sava a fondé le monastère de Chilandar sur le Mont Athos et fut le premier primat de l’Eglise orthodoxe serbe qui obtient grâce à lui son autonomie et qu’il a organisée. Il est fêté le 14 janvier.

mardi 3 décembre 2013

La fragmentation de la solidarité humaine: ma chronique du 1er décembre

Ma chronique du 1er décembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie (textes, podcast), sur Radio Notre-Dame, portait sur la fragmentation de la solidarité humaine. Pour la lire, cliquez ici.

mardi 26 novembre 2013

Sainte de l'Eglise orthodoxe et "Juste parmi les nations", une rue de Paris portera bientôt son nom: ma chronique du 24 novembre

Ma chronique du 24 novembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie, sur Radio Notre-Dame, portait sur la décision récente, par la mairie de Paris, d'attribuer à une voie nouvelle du 15e arrondissement de la capitale, le nom de Marie Skobtsov. C'est un hommage à une grande figure de l'émigration russe à Paris: Mère Marie, à la fois sainte de l’Église orthodoxe et déclarée "Juste parmi les nations" par le mémorial de Yad Vashem. Ci-dessous: le texte de cette chronique.

J’ai la joie de vous annoncer aujourd’hui une excellente nouvelle qui est aussi un évènement : la mairie de Paris a décidé de donner à une voie du 15e arrondissement le nom de rue Marie Skobtsov. Le 4 novembre le Conseil du 15e a voté la décision et le 12 novembre ce fut au tour du Conseil de Paris, les deux à l’unanimité. Pour comprendre la portée de cet évènement, il faut connaître quelques éléments de la vie étonnante de Marie Skobtsov, que nous appelons plus volontiers en orthodoxie Mère Marie (photographie ci-dessus).

Née Elisabeth Pilenko, en 1891, à Riga, alors dans l’Empire russe, issue d’une famille aristocratique, avec des origines françaises, elle révèle très tôt à Saint-Pétersbourg ses dons de poétesse et fréquente les salons littéraires en vue. Militante, elle devient lors de la Révolution de 1917, la première femme maire d’une ville en Russie. Mais opposante au régime, elle se retrouve sur les routes d’Europe avec son second mari et ses enfants. Elle arrive finalement à Paris en 1923. Différents évènements et sa foi l’amènent à devenir moniale en 1932 sous le nom de Mère Marie. Elle choisit de rester à Paris pour y exercer une action caritative envers les démunis de l’émigration russe. C’est ainsi qu’elle crée en 1935 un foyer au 77 rue de Lourmel dans le 15e. Tous les matins, très tôt, elle part en trainant une charrette jusqu’aux Halles pour récupérer les invendus et ce que l’on veut bien lui donner afin de nourrir tous les déshérités qui viennent à son foyer. C’est aussi un lieu de célébrations, une église s’y trouve, mais également de rencontres intellectuelles où se rend entre autres Nicolas Berdiaev. Mère Marie fait montre d’une activité débordante et multiple : elle nourrit, écrit, brode, dessine.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le centre accueille des réfugiés, mais aussi délivre des faux certificats de baptême, aide certains à échapper aux recherches de l’occupant. En juillet 1942, Mère Marie parvient à sauver des enfants enfermés au Vélodrome d’hiver, où elle a pu entrer, en les dissimulant dans des poubelles. Toutes ces actions lui vaudront, bien des années après, le titre de « Juste parmi les nations » décerné par le mémorial de Yad Vashem. En 1943, suite à une dénonciation, elle est arrêtée et déportée au camp de Ravensbrück. Là, elle est au cœur d’un groupe de prière dans lequel se trouve notamment Geneviève de Gaulle-Anthonioz. Mère Marie soutient, réconforte, prie. Ayant eu la chance de rencontrer une de ses proches compagnes de captivité, Jacqueline Pery-d'Alincourt (deux entretiens avec elle sur ces pages: 1, 2), membre de ce groupe de prière, j’ai appris combien la présence et le rayonnement de Mère Marie ont été précieux pour ses compagnes pour survivre dans cet enfer. Mais, le 31 mars 1945, qui est cette année-là le vendredi saint, elle est gazée, peut-être en prenant la place d’une autre personne. En 2004, elle a été canonisée par le Patriarcat œcuménique de Constantinople en même temps que son fils Georges, que le prêtre Dimitri Klépinine et Ilya Fondaminsky, un juif converti à l’orthodoxie, tous œuvrant avec Mère Marie, tous morts en déportation.

mardi 19 novembre 2013

Présent et histoire de l'Eglise orthodoxe en France: ma chronique du 17 novembre dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie"

Ma chronique du 17 novembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie, sur Radio Notre-Dame, portait sur le présent et l'histoire de l'Eglise orthodoxe en France à l'occasion de l'Annuaire de l'Eglise orthodoxe de France 2013-2014 (couverture) publié par le monastère de Cantauque. Pour la lire, cliquez sur ce lien.

lundi 11 novembre 2013

Histoire et situation de l'Archevêché, l'élection de l'archimandrite Job Getcha: ma chronique du 10 novembre dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie"

Ma chronique du 10 novembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie, sur Radio Notre-Dame, avait pour sujet l'histoire et la situation de l'Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale, ainsi que l'élection de l'archimandrite Job Getcha en tant qu'archevêque. Pour la lire, cliquez ici.
La chronique a été reprise sur le site du diocèse catholique de Paris.

lundi 4 novembre 2013

Le développement des relations virtuelles, l'incarnation et le cheminement spirituel: ma chronique du 3 novembre dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie"

Ma chronique du 3 novembre dans l'émission Lumière de l'orthodoxie, sur Radio Notre-Dame, évoque le développement des relations virtuelles, l'incarnation et le cheminement spirituel (podcast audio et autres textes de l'émission). Pour lire cette chronique, cliquez sur ce lien.

Illustration: source

lundi 28 octobre 2013

Une "usine à bébés" en Inde: ma chronique dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie" du 27 octobre

Dans ma chronique, de l'émission Lumière de l'orthodoxie du 27 octobre (la page de l'émission avec le podcast en ligne) sur Radio Notre-Dame, j'ai évoqué la construction en cours d'une "usine à bébés" en Inde, un centre où «des centaines de mères porteuses aideront des couples occidentaux à concevoir un enfant», puis la mise en œuvre éthique et spirituelle de nos choix, de notre liberté et de notre responsabilité vis-à-vis d'autrui. Pour lire cette chronique, cliquez sur ce lien.

En complément: ce reportage de TF1 sur une "usine à bébés" en Inde. Cette enquête du Nouvel Observateur, sur l'exemple indien, mise en ligne le 27 octobre également. Cet article du Monde sur des "usines à bébés" et le trafic d'êtres humains au Nigeria.

Source de la photographie: Le Nouvel Observateur

lundi 21 octobre 2013

Le 1700e anniversaire de l'édit de Milan: ma chronique dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie" du 20 octobre

Ma chronique, dans l'émission Lumière de l'orthodoxie du 20 octobre sur Radio Notre-Dame, portait sur le 1700e anniversaire de l'édit de Milan et sa célébration orthodoxe à Nîs en Serbie, le 6 octobre dernier. Pour la lire, cliquez sur ce lien.

lundi 23 septembre 2013

"Lumière de l'orthodoxie": ma chronique du 22 septembre sur le chant orthodoxe

Pour lire ma chronique dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie" du 22 septembre, sur Radio Notre-Dame, cliquez sur ce lien. Elle est consacrée au nouveau disque de l'ensemble Harmonie géorgienne, "Eucharistia" (éditions Jade, couverture ci-contre) et au chant orthodoxe.

lundi 16 septembre 2013

Ma chronique du 15 septembre dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie" sur Radio Notre-Dame

Pour lire le texte de ma chronique du dimanche 15 septembre dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie", sur Radio Notre-Dame, cliquez sur ce lien. Le podcast audio de l'émission est en ligne ici. Ma chronique portait sur l'ouvrage du père Jean Breck intitulé L’Écriture dans la tradition - La Bible et son interprétation dans l’Église orthodoxe paru aux éditions du Cerf en début d'année.

dimanche 8 septembre 2013

"Lumière de l'orthodoxie" (Radio Notre-Dame): la chronique du 8 septembre

Ma chronique du 8 septembre, dans l'émission "Lumière de l'orthodoxie" sur Radio Notre-Dame portait sur la fête de la Nativité de la Mère de Dieu (office des vigiles de la fête). Le texte de cette chronique est ici. Le podcast audio de l'émission se trouve sur cette page.

vendredi 6 septembre 2013

L'émission "Lumière de l'orthodoxie" sur Radio Notre-Dame

Ce dimanche 8 septembre, première émission pour la deuxième année de "Lumière de l'orthodoxie" sur Radio Notre-Dame. L'émission est placée sous l'égide de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France. Elle est produite et animée par Victor Loupan, journaliste (il fut grand reporter au Figaro magazine), écrivain, rédacteur en chef de La pensée russe, membre du conseil patriarcal pour la culture du Patriarcat de Moscou. Les autres intervenants réguliers sont Cécile Brahy pour les actualités, le père Marc-Antoine Costa de Beauregard, doyen pour la France des paroisses de la Métropole roumaine, recteur de la paroisse orthodoxe de Louveciennes, le père Alexandre Siniakov, recteur du Séminaire orthodoxe russe en France et moi-même pour une chronique hebdomadaire. L'émission, qui dure 26 minutes, est diffusée le dimanche à 20 heures et rediffusée notamment le lundi à 15 heures. Je mettrai en ligne, au fur et à mesure, les textes de mes chroniques.
Radio Notre-Dame (présentation) est diffusée sur Paris et la région parisienne (100.7 FM) et par l'internet en direct notamment. Ces émissions sont reprises par d'autres radios.